Le chapitre de Cheikh Yérim SECK sur Ousmane SONKO est un condensé d’attaques personnelles d’un écrivain qui se sert de sa plume pour souiller le principal opposant au régime, à quelques encablures des élections présidentielles. L’histoire se répète.
On assiste là encore à une conspiration, à un consensus autour d’un projet de liquidation d’un adversaire politique qui empêche de dormir.
La position de yérim sur Sonko est plus que surprenante. Surprenants sont également les arguments qu’il a soulevés et la fameuse histoire de mœurs à laquelle il a recouru pour appuyer sa thèse.
Tout ça pour dire autrement aux sénégalais que le leader de Pastef ne fait pas moins que ce qu’il reproche aux tenants du pouvoir en terme de valeurs et de vertus.
En ces nuits où le dégoût de la chose politique gagne de plus en plus nos concitoyens, changer un système n’est pas chose aisée. D’où la nécessité d’encourager ceux qui s’y attèlent. Parmi ceux-là, Ousmane SONKO occupe inéluctablement la première place. On peut ne pas être d’accord avec lui sur des questions ou sur son style mais fermer les yeux sur la nouvelle dynamique qu’il prône, sur son projet politique marqué surtout par le don de soi, est une preuve manifeste de mauvaise foi et de haine viscérale contre sa personne.
Yérim n’aurait pas dû.
À défaut de soutenir les acteurs politiques porteurs de changements, il est maladroit, très maladroit de les démoraliser voire de les discréditer !
L’histoire retiendra que Cheikh Yérim a humecté sa belle plume dans l’encre du fatalisme pour tenter d’éliminer de la course, un citoyen qui n’a que l’envie de participer dans la gestion des affaires publiques avec une nouvelle façon de faire.
Tenez bon, Ousmane !
Ne vous arrive que ce qu’Allah aura prescrit sur votre destin.
Que Dieu protège le Sénégal !
Adama KANE
adamakane2850@gmail.com